Ce thym rempli de bonnes choses, vous ne le trouverez pas au supermarché.

Apprenez à le cueillir

Chère lectrice, cher lecteur,

C’est exactement la même plante séchée que vous voyez dans mes deux mains :

Je sais, on ne dirait pas comme ça… Mais dans les deux cas, c’est du thym, bien sec.

À gauche, celui qu’on voit souvent dans les supermarchés. Il vient de Pologne, il a un parfum de poussière à l’ouverture.

À droite, le thym sauvage que vous pouvez cueillir l’été dans les champs. Même sec, son odeur de garrigue remplit la cuisine quand j’ouvre mon bocal. Doux, chaud, herbacé. Il me réchauffe la gorge.

Vous pouvez avoir le même chez vous.

C’est juste que… ce thym en fleurs ne s’achète nulle part

Il se cueille ! 

Vous ne trouverez pas d’herbes comme ça dans les magasins

Mes plantes aromatiques, je ne les achète plus.

Je les cueille moi-même,
je les sèche moi-même,
et je les conserve moi-même !

C’est grâce à ça que leurs vitamines et leurs couleurs restent intactes. Voilà à quoi elles ressemblent :

Si vous avez déjà essayé, vous savez : leur goût est incomparable. Il imprègne chaque plat, rien qu’avec une petite pincée.

Ces plantes sont meilleures pour nous parce que plus concentrées en nutriments. Prenez mon thym sauvage, il est :

  • 2 fois plus riche en huiles essentielles que son cousin polonais [1]
  • Plus efficace en tisane, justement parce que ses propriétés dépendent en grande partie de sa richesse en huiles essentielles. Je le prends quand j’ai un petit début de rhume, c’est redoutable. [2]

C’est logique quand on y pense :

–    Leurs racines ont grandi dans un bon sol vivant, nourri d’échanges entre les vers de terre, les champignons, les micro-organismes …
–    Elles ont poussé à la lumière du soleil, arrosées de temps en temps par une bonne eau de pluie
–    C’est tout un écosystème qui a assimilé pour elles un maximum de phosphore, de carbone, de minéraux, d’acides aminés…

Et tout ça se retrouve à la fin dans notre assiette !

Beaux légumes pleins d’eau

Il suffit de voir la tête du « thym poussière », dans nos herbes et nos légumes de supermarchés, à force d’OGMs, de pesticides, et de récoltes trop précoces… il y a de moins en moins de nutriments. [3]

Je parle ici de minéraux, vitamines, enzymes. Entre 1960 et aujourd’hui, dans presque tous les légumes les nutritionnistes parlent de « moitié moins de bêtacarotène, baisse de 38% de la vitamine C, richesse en fer divisée par 4… » [4]

C’est triste, mais c’est vrai : les sols cultivés se meurent peu à peu.

Et les légumes qu’on nous vend leur ressemblent … Beaux mais fatigués. Pleins d’eau.

1 poignée de pissenlit = les vitamines de 2 carottes

Ces vitamines qui ont disparu des cultures, les plantes en sont bourrées à l’état naturel. [5]

Certains prés, sous-bois, forêts n’ont pas été dénaturés par nos techniques industrielles.

Aucune machine, aucune modification génétique ou traitement chimique ne les a abîmés.

Dans une seule poignée de belles feuilles de pissenlit, vous avez : 

– 5 fois plus de bêta carotène que dans une carotte cultivée (5850 microgrammes contre 1380) [6]
– 2,5 fois plus de fer que dans la même quantité d’épinards (3,1 mg contre 1,30) [7]
– 2 fois plus de potassium que dans une poignée de salade verte (397 mg contre 200).

Dans 100 g d’orties : [8]

–    Autant de calcium que dans un yaourt
–    Presque autant de protéines que dans un œuf (8g contre 10g)
–    Et pour couronner le tout, une bonne dose de silice, qui aide à bien assimiler tous ces bons nutriments.

Je pourrais vous parler de dizaines d’espèces, la règle se vérifie presque à chaque fois.

Dans nos champs, les herbes ont gardé les enzymes, les vitamines, les minéraux qui disparaissent progressivement des plantes cultivées. [9]

Alors qu’est-ce qu’on attend pour les cueillir ?

Sur le chemin des courses, vous avez probablement écrasé de quoi vous faire une entrée pour deux.

Rien que ce matin, en marchant 20 minutes, j’ai trouvé ces pousses-là :

– Deux pieds de picride, de quoi faire une base de salade
– Une rosace de pissenlit, qui relève le tout avec un peu d’amertume
– Quelques feuilles de plantain, pour assaisonner la vinaigrette ;
– Deux tiges d’achillée pour le petit goût camphré
– Une dizaine de feuilles d’orties pour les protéines

Presque de quoi me faire une salade complète. Uniquement avec des herbes qui poussent près de chez moi.

Et pourtant je vis en zone habitée, comme vous !

C’est seulement le dimanche que j’ai le temps d’aller dans les champs, les bords de chemins peu fréquentés, les forêts.

Emmenez seulement un panier, un couteau et des bottes

Alors imaginez-vous faire vos courses autrement : pas chez Auchan, pas chez Carrefour…

Directement dans les champs.

Un matin, à 11h, vous prenez un large panier.

Vous mettez des bottes ou des baskets, ce que vous avez, de quoi vous frayer un chemin dans le champ, le parc, ou la forêt la plus proche.

Dans la poche droite de votre manteau, vous glissez un petit canif.

L’air est encore frais, ce qu’il faut d’humidité pour que les plantes ne s’assoiffent pas.

Vous jetez un coup d’œil autour de vous ; le soleil monte dans le ciel.

Le panier se remplit vite : le serpolet, les fleurs de sureau, l’oseille sauvage pour la soupe de midi.

Votre panier commence presque à déborder de belles tiges fraîches.

Alors vous rentrez, vous lavez vos trouvailles.

Un bon bain d’eau claire, elles sont prêtes à manger.

Et si vous avez les bonnes techniques de séchage, vous les gardez. Pour toute l’année !

Beignets de fleurs d’acacia, farine de glands, sirop de sureau…

On ne voit plus beaucoup de gens qui « cueillent » encore ce qu’ils mangent. L’idée semble farfelue.

Pourtant, c’est exactement comme ça qu’on vivait dans les campagnes, avant ! 

Cueillir des pissenlits pour la salade du midi, faire ses provisions d’aubépine pour bien dormir…

Ce n’est pas une activité d’excentrique : c’est du bon sens. 

Et pas besoin d’un doctorat en botanique pour vivre comme ça. Ma grand-mère Louise qui cueillait toutes ces plantes n’avait rien d’une scientifique, pourtant elle connaissait sûrement la forêt aussi bien qu’eux.

Les anciens de mon village n’étaient pas des « grands experts », ils n’avaient pas des bacs + 5 en agronomie, ou des outils de pointe : ils faisaient avec ce qu’ils avaient sous la main, grâce au savoir qui circulait de famille en famille. 

– de la farine de glands
– des beignets de fleurs d’acacia
– des soupes de châtaignes
– de la confiture de cynorrhodon
– du sirop de violettes
– de la gelée de mûres sauvages…

Les recettes se transmettaient simplement de générations en générations !

Comme des évidences.

Compliqué de se lancer tout seul

Bien sûr, quand on commence, tout n’est pas aussi facile.

« Mais le pissenlit, ça se ramasse aussi en hiver, à ton avis ? »

« Tu crois que c’est de la carotte sauvage, ça ? Parce que ça ressemble quand même beaucoup à de la cigüe »

« La racine, là, ça se mange aussi ? »

Ces questions que vous vous posez, je les connais, je me les suis posées avant vous.

  • Où exactement il faut faire sécher ses herbes et combien de temps ;
  • Comment on fait pour cueillir des orties sans se piquer ;
  • Comment on reconnaît les châtaignes qui sont déjà « mangées » de l’intérieur
  • A quelle heure de la journée il vaut mieux partir en cueillette pour garder le bon goût des herbes ;
  • Comment enlever l’amertume du pissenlit…

Moi, c’est surtout ma famille qui m’a appris tout ça.

Mais je sais que c’est une chance, que ce savoir se perd peu à peu : vous êtes nombreux à me l’écrire tous les jours.

Mon ami Antoine a essayé la cueillette « à l’instinct », son estomac s’en souvient

C’est vrai que les recettes anciennes et les conseils se sont perdus. Alors beaucoup essaient de se lancer tout seuls.

Un de mes amis, qui s’appelle Antoine, a voulu apprendre sur le tas : l’été dernier, il est parti cueillir tout seul une après-midi, avec son gros livre de botanique de 500 pages à la main.

Le problème… c’est qu’il n’en comprenait pas la moitié.

Capitules, folioles, akènes…

C’était un peu du chinois pour lui.

Résultat ; il a rempli son panier de plantes qui « ressemblaient pas mal à la photo ».

Et sans trop savoir, il a décidé de se faire une petite salade avec ses récoltes.

Je ne vais pas trop rentrer dans les détails, mais je peux vous dire qu’il a passé le jour d’après… à rejeter ce qu’il avait avalé. 

Apprenez à cueillir avec moi

Moi aussi, j’ai fait des erreurs au début.

Ça m’a pris des années, je me suis trompée, j’ai eu des doutes…  Mais j’ai continué à écouter les conseils de ceux qui « savaient ».

Et je sais comment vous épargner ces erreurs aujourd’hui.

Je peux vous apprendre à cueillir. Je sais aussi sécher, je sais préparer toutes ces plantes sauvages. Je peux vous expliquer ces termes techniques que je ne comprenais pas il y a bien des années.

Et j’ai envie de partager cela avec vous.

C’est pour ça je vous écris chaque semaine depuis des mois !

Vous me le dites, mes lettres vous aident… ça me va droit au cœur !




Et vos questions sont de plus en plus nombreuses ! Vous demandez toujours plus de précisions !

Vous avez bien raison d’être « demandeurs » comme ça !

Car la cueillette n’est pas un loisir qui s’improvise.

Il y a effectivement des précautions à prendre, des techniques à adopter pour bien couper, bien sécher, bien préparer. Il y a aussi des « trucs » à connaître pour aller plus vite, être plus efficace.

Et si vous voulez mieux vous nourrir et mieux prendre soin de votre santé avec vos cueillettes, ce qui est l’objectif ultime,… eh bien… ça s’apprend aussi !

Comme je l’ai appris de ma grand-mère Louise et de mes maîtres François Couplan, Francis Hallé, Pierre Lieutaghi.

Je me dis que je dois vous transmettre ce que je sais faire de manière plus organisée et détaillée.

Avec des fiches-guides à emmener en cueillette pour être sûrs de ne pas vous tromper.

Avec des modes d’emploi remplis d’images, des schémas, des techniques pour choisir, conserver, sécher, préparer, consommer, utiliser ces plantes.

Avec des notices pour vous accompagner à chaque étape :

  • le couteau à la main dans les champs,
  • dans le bac d’eau de votre cuisine,
  • dans votre assiette quand vous mangerez,
  • près de vos casseroles quand vous ferez vos purées, vos pestos, vos confitures, vos hachis,
  • à vos bocaux de conservation, quand vous fabriquerez vos remèdes naturels.

Tout ça n’est pas possible dans un simple email.

Alors j’ai fabriqué…une revue.

J’ai fabriqué le guide qui m’a manqué à mes débuts

J’ai travaillé pendant des mois dessus.

Je suis fière, même si un peu intimidée… de la vous présenter  !

Oui oui, c’est bien une revue papier que vous voyez.

Elle contient 16 pages et je la publie chaque mois.

Son objectif est de vous aider à cueillir les plantes sauvages autour de chez vous.

Et vous apprendre à vous en servir pour mieux vous nourrir et mieux prendre soin de vous.

Dans votre sac en promenade

Dans le tout premier numéro je vous aide à trouver du lierre terrestre (vous le reconnaissez peut-être sur la photo).

C’est le cousin du lierre grimpant mais il a bien plus de propriétés médicinales, notamment sur les bronches et les poumons. C’est bien utile en ce moment.

  • Je vous aide à savoir où chercher ce lierre bienfaisant, dans quel type de sous-bois le trouver ;
  • Je vous donne 5 caractéristiques pour le reconnaître entre mille. La forme de sa tige, la couleur particulière de ses feuilles, ses fleurs qui ressemblent vaguement à … un visage de poupée (si, si, vous verrez) ;
  • Je vous raconte les histoires qu’on racontait sur lui avant, et comment on l’utilisait dans les campagnes ;
  • Je vous donne la fameuse recette du sirop maison au lierre qui calme les toux récalcitrantes ;
  • Je vous ai préparé une recette qui épatera vos invités, avec du lierre terrestre et du fromage de chèvre.

Chaque mois, une plante sauvage 

Voilà, je me suis fixé ces objectifs :

1.    Vous aider à repérer les plantes sauvages qui poussent autour de chez vous

De la bardane, de l’alliaire, de la consoude, de la chélidoine, de la balsamine… Je pourrais faire une liste de 3 kilomètres. Je vous parle en détail de chacune, au moment de sa saison de cueillette.

Je vais mettre entre 5 et 10 de photos sur chaque plante, pour être sûre que vous la reconnaîtrez entre mille, pour « entraîner » votre œil à les voir.

2.    Ne plus vous tromper d’espèce

Pas question de faire comme ces touristes qui cueillent de la belladone (mortelle) en se disant que ça ressemble à des myrtilles. Il ne faut pas prendre ça à la légère.

Chacun de mes articles sera fait pour vous empêcher de vous tromper : avec des images, des schémas, et des explications simples, mais précises. 

Comme la voix de votre grand-mère qui vérifierait ce qu’il y a dans votre panier : « Tu es bien sûre que cette baie-là pousse en septembre ? Fais attention à ne pas la confondre avec celle-là » !

3.    Vous apprendre à les utiliser

C’est bien de reconnaître ces plantes, c’est mieux de savoir ce qu’on peut faire avec elles.

Et comment faire.

De la confiture de pissenlit, du sirop pour la toux au sureau, de la teinture digestive aux plantes amères… Il y a des dizaines de recettes, c’est juste qu’on ne les trouve pas sur internet ni dans les livres. Elles se propagent de bouche à oreille, de grand-mère à petite fille.

Je les ai retranscrites pour vous, j’en ai créé de nouvelles moi-même.

4.    Vous aérer la tête

J’ai voulu parler avec des hommes et des femmes qui vivaient dans la nature, grâce à elle ou pour elle. Les interviewer et vous raconter leurs parcours qui vous inspireront.

Des cueilleurs, des botanistes, des herboristes, des permaculteurs. C’est comme des grandes bouffées d’air frais !

Dans mon premier numéro, je vous fais rencontrer la cueilleuse et naturopathe Mélanie Dupuis, qui vit en Ariège et soigne ses patients avec des plantes qui poussent autour de chez elle.

Elle vous donne la recette d’une alcoolature de thym (sa plante fétiche), un fortifiant général, idéal pour les infections ORL.

Pas de paragraphes « wikipédia », seulement du pratique !

En fait, j’ai fabriqué le guide que j’aurais rêvé d’avoir avec moi à mes débuts.

Sans explications compliquées, paragraphes à rallonge, termes botaniques à la pelle.

Je l’ai conçu pour être un compagnon de promenade.

Le plus pratique possible.

Je veux que cette revue réponde en détail, mais de façon claire et concise, aux questions que vous m’envoyez.

« Est-ce qu’on peut manger les pissenlits qui poussent près des routes ? »

« J’ai vu des fleurs en janvier, je peux les ramasser même si c’est l’hiver ? »

« Comment reconnaître l’ortie blanche, j’ai vu les mêmes feuilles, mais la tige ne ressemble pas à celle de la photo ? »

Pas d’heures de bêchage, de désherbage, de repiquage…

Je préfère vous prévenir : ce n’est pas un magazine de jardinage !

Ces plantes, c’est la nature qui les a fait pousser toute seule. C’est ça le plus beau !  Tout est là, prêt à être cueilli.

Pas besoin de préparer son sol, d’acheter des graines, et d’attendre six mois ou un an qu’elles poussent.

Les champs, la forêt, les bords de chemin… C’est le plus grand potager du monde.

+ 1 « bagage » pour se lancer en cueillette

Je tiens à envoyer à tous ceux qui commanderont ma revue un « bagage » pour se lancer en cueillette.

Un matériel de base, en quelque sorte.

Je les ai conçus comme des cadeaux « en plus ».

Ainsi vous pourrez commencer à cueillir dès maintenant !

Outil n° 1 : mon calendrier de cueillette (offert)


Le condensé de toutes mes saisons de cueillette !

C’est tout bête, mais un coup d’œil à ce calendrier avant de partir aide à se remettre les idées au clair. Pour ne pas chercher des fleurs d’aubépine en mars, ou des coucous en septembre, etc.

Pour ne pas rentrer bredouilles de promenade :

  • Une photo de chaque plante
  • Le mois où elle pousse
  • La partie de la plante que vous pouvez récolter, en fonction de la saison

J’ai travaillé avec une graphiste pour le rendre facile à lire, et compréhensible en un coup d’œil.

Outil n°2 : une vidéo où je cuisine mes plantes préférées (offert)

Dans cette vidéo que j’ai tournée avec ma sœur Laura, je vous montre des plantes comestibles que vous pouvez trouver près de chez vous.

Et je vous emmène dans ma cuisine pour vous expliquer la façon dont je les prépare.

Au menu de cette vidéo, donc :

  • Repérer 5 plantes sauvages courantes
  • Préparer une entrée et un dessert pour deux, avec des feuilles fraîchement cueillies

Outil n°3 : mes 10 plantes « couteau-suisse », contre 5 maux (offert)

Si vous voulez faire une cueillette autour de chez vous dès demain, emmenez ce petit livre que j’ai fait pour vous. Au moins une de ces 10 plantes pousse pas loin, je vous le garantis… et vous évitera bien des consultations :

  • Contre la toux et le rhume
  • Pour calmer des coups et les bosses
  • Pour vous détendre, en ces temps angoissés
  • Contre les irritations de la bouche
  • Pour vous aider à mieux dormir.

Ces recettes de plantes bienfaisantes, je les ai testées sur moi et mes proches.

J’y ai intégré

  • Un bain de bouche avec une fleur du bord des chemins
  • Un gargarisme anti-angine
  • Une teinture mère d’aubépine à prendre juste avant d’aller au lit… qui vous fera dormir comme un bébé. 

Outil n°4 : mon enquête complète sur le pissenlit (offert)

Le pissenlit, c’est la plante des foies fragiles vous le savez.

J’ai écrit ce dossier pour vous expliquer comment fabriquer vous-même une décoction de pissenlit, ainsi que votre teinture mère pour détoxifier votre foie.

Vous allez y apprendre

  • La bonne saison pour cueillir chaque partie du pissenlit (feuilles, fleurs, racines),
  • Où le cueillir de préférence (et où éviter de le cueillir),
  • Comment cuisiner le pissenlit pour qu’il soit délicieux tout en gardant ses propriétés
  • Deux recettes au pissenlit que je tiens de ma grand-mère (hyper bonnes !).

Comment recevoir tout ça chez vous ?

Au bas de cette page, vous verrez un bouton de commande : c’est le seul endroit où vous procurer ma revue Cueillir, se nourrir, se soigner, ainsi que mes 4 « outils-cadeaux ».

Je ne veux pas d’Amazon, d’intermédiaires commerciaux, de grands distributeurs… etc.

C’est moi qui reçois chaque commande et j’y tiens.

En rejoignant ma revue :

  • Vous recevez votre dossier cueillette chaque mois dans votre boîte aux lettres, en version papier ou numérique, aux alentours du 20 du mois,
  • Vous recevez immédiatement sur votre boîte mail les 4 « outils- cadeaux » et le premier numéro collector de la revue, en version numérique.

J’ai fixé le prix qui me semble le plus juste

Tout ce projet est parti d’une passion et, vous le savez, je vous écris depuis des mois gratuitement.

Parce que ça me plaît.

Mais depuis quelques temps, c’est devenu un projet à plein temps. Et je dois rétribuer les autres spécialistes avec lesquelles je travaille. Continuer à alimenter chaque rubrique.

Alors j’ai réfléchi à un prix pour rentrer dans mes frais, et pouvoir continuer ce projet avec vous. Sans que ça laisse la moitié de mes lecteurs sur le côté !

Le prix d’une tisane par mois

Cette revue, c’est tous les conseils que j’aurais rêvé d’avoir à mes débuts de cueilleuse.

A mes yeux, elle a beaucoup de valeur.

Elle vous donne les clés pour partir cueillir directement, sans besoin d’aller piocher des informations à droite, à gauche.

Mais hors de question de vous la faire payer au prix fort.  De « sélectionner » mes lecteurs en fonction de leurs moyens.

Je déteste l’idée. Je ne ferai jamais comme ces formations en ligne de cueillette sauvage qui demandent près de 3000 euros (si, si, je vous promets) pour un module de cours.

Je veux rester fidèle à ce que je fais depuis le début : partager cet amour des plantes et de la nature avec tous ceux qui le veulent.

Alors j’ai fixé un prix qui me semble accessible : 3 euros par mois. Le prix d’une tisane dans le commerce !

Ça c’est le prix réservé à mes lecteurs, je le maintiendrai pour une durée limitée.

Après quoi, je passerai à 6 euros par mois (le prix de DEUX tisanes par mois)

Si on récapitule, ça donne ça :

S’il y a le moindre problème, vous pouvez me joindre, je vous rembourse

Je suis certaine de la qualité de cette revue, puisque je l’ai fabriquée de bout en bout. J’y ai mis tout mon cœur.

Mais si pour une raison ou pour une autre, elle ne vous convient pas, vous avez complètement le droit de revenir sur votre décision : et d’annuler votre abonnement.

Je vous rembourse !

Pendant 3 mois à compter de la date de votre abonnement, si vous n’êtes pas satisfait, vous pouvez m’appeler, et je vous rembourse ce que vous avez payé.

C’est mon idée de l’aide que je veux apporter !

Après les 3 mois, vous conservez la possibilité d’arrêter votre abonnement sur simplement demande. Vous serez remboursé au pro-rata des numéros restant à recevoir.

Un petit mot à cette adresse suffit : https://nature-autonomie.com/contact/

Comment vous inscrire ?

Moi je n’y connais rien en internet mais j’ai travaillé avec un informaticien très compétent. Pour être sûre que tout soit sécurisé et simple.

Pour vous inscrire, il faut juste cliquer ci-dessous (vous atterrirez sur un bon de commande) :

Vous entrez votre adresse, un clic, et votre abonnement est confirmé.

Quelques minutes après, vous recevez votre premier numéro collector par mail, celui qui contient mon dossier sur le lierre terrestre.

Et vos 4 outils cadeaux :

  • Votre calendrier de cueillette
  • Le dossier 5 plantes contre la toux, l’anxiété, les coups, les irritations, l’insomnie
  • Ma vidéo de cuisine sur les plantes comestibles que je préfère
  • Mon petit livre sur les mille vertus du pissenlit

Le mois suivant, votre premier numéro papier vous attendra dans votre boîte aux lettres.

Le 20 de chaque mois, un nouveau guide de cueillette !

Vous recevrez votre numéro dans votre boîte aux lettre tous les 20 du mois, aussi longtemps que vous en aurez envie.

Si un jour cet abonnement ne vous plaît plus, vous le résiliez quand vous voulez.

Je vous remets donc les détails de ma revue « Cueillir, se nourrir, se soigner » ici.

Dans chaque numéro je vous parle de :

  • Une plante sauvage, en profondeur
  • 5 points pour éviter de la confondre avec d’autres
  • 1 recette de cuisine originale (entrée, plat ou dessert)
  • 1 recette de remède médicinal maison avec une plante sauvage
  • 1 histoire de vie inspirante
  • 3 adresses de petits producteurs pour vous fournir en produits de qualité (tisanes rares, confitures introuvables ailleurs, variétés anciennes de plantes médicinales…)

Merci d’avoir pris le temps de me lire

Voilà, je crois que je vous ai tout dit.

Je suis très heureuse que vous me fassiez confiance, et encore merci.

J’ai besoin de vous maintenant, pour que ce projet réussisse.

Je m’apprête à vous transmettre toutes ces traditions de cueillette et de préparation de plantes qui se sont perdues.

Je vais vous apprendre à vous nourrir avec ce qui pousse en abondance partout autour de chez vous.

Je vais vous aider à lutter contre vos maux de tous les jours, avec les baumes, les huiles, les macérâts et les tisanes qui soignent le corps au rythme des saisons, sans bouleverser son équilibre.

Et je suis persuadée que c’est là, dans la nature, que se trouvent les bonnes réponses.

Mais sans votre aide, ça ne sera pas possible !

Si nous prenons, tous autant que nous sommes, la nature pour guide, nous ne nous égarerons pas.

On se retrouve dans les pages de ma revue, j’espère !

VOS CONDITIONS PRÉFÉRENTIELLES



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À très vite,

Mathilde Combes

Ps : Je vous enverrai aussi en cadeau mon tout premier numéro sur mon cher lierre terrestre et je vous laisse avec quelques retours des lecteurs de ma revue !

Je vous souhaite de belles découvertes, de bonnes recettes sauvages et de jolies cueillettes !

Mathilde

[1] VAN DER ENDE Mélanie, Fines herbes et grands secrets, France 5, 2005, disponible sur : https://www.dailymotion.com/video/x54w1c5

[2] Haas LF. Thymus serpyllum (wild thyme). J Neurol Neurosurg Psychiatry. 1996 Feb;60(2):224. doi: 10.1136/jnnp.60.2.224. PMID: 8708662; PMCID: PMC1073813.

[3] [4] L. Guéguen, AAF, disponible sur : https://alimentation-sante.org/wp-content/uploads/2017/06/20170530alimentshistoriquequalite.pdf

[5] http://www.couplan.com/fr/presentation/homme_et_plantes_sauvages.php

[6] https://www.aprifel.com/fr/fiche-nutritionnelle/pissenlit/ ethttps://www.lesfruitsetlegumesfrais.com/fruits-legumes/legumes-racines-tubercules-et-tiges/carotte/nutritions-et-bienfaits

[7] https://www.aprifel.com/fr/fiche-nutritionnelle/epinard/?tab=composition_analyse_nutritionnelles#mineraux-et-oligo-elements_bouilli

[8] Dhouibi R, Affes H, Ben Salem M, Hammami S, Sahnoun Z, Zeghal KM, Ksouda K. Screening of pharmacological uses of Urtica dioica and others benefits. Prog Biophys Mol Biol. 2020 Jan;150:67-77. doi: 10.1016/j.pbiomolbio.2019.05.008. Epub 2019 Jun 1. PMID: 31163183.

[9] COUPLAN Francois, Salades sauvages, Sang de la Terre, 2018